Lors d’une procédure devant le tribunal administratif, la ville de Nice a reconnu avoir utilisé des logiciels de vidéosurveillance algorithmiques (VSA) lors de la coupe d’Europe de football de 2016 et lors du carnaval de 2019. La ville a également affirmé avoir utilisé un logiciel de reconnaissance faciale, « à titre expérimental », lors du carnaval de 2019.

Le – controversé – logiciel BRIEFCAM a notamment été utilisé, même si le module de reconnaissance faciale n’a pas été activé.

Le logiciel de reconnaissance faciale ANYVISION, éditée par la société CONFIDENTIA, a également été utilisé.

Par ailleurs, la ville a indiqué avoir passé un marché public pour « l’acquisition d’un logiciel de vidéosurveillance augmentée, dénommé WINTICS […] », qui sera utilisé pour les Jeux olympiques 2024.

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